Programmes cinema | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
La marchandise idéale, le rêve lucratif. | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Le problème est la motivation, la création dune spirale constructive qui pourrait porter. « le sommeil de la raison engendre des monstres ». Cest bien de cela quil sagit, sauf que ce nest pas un sommeil, mais une façon de penser irrationnelle qui dirige, sélabore de manière chaotique en l' esprit.
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Sinon on ne produit que de la pensée |
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Le monde se dresse alors, exigeant, immense, sans réponses, sans repos. Il mentoure et me pénètre malgré ma résistance, mon refus, ne laissant vierge que de ma moelle, ultime matière qui distillera plus tard son suc en mon esprit. Cette moelle que je ne peux saisir, cette moelle qui ma construit et me dirige, sans me dire que je suis maître à bord. Je laisse ainsi à de vagues cellules les choix de ma destinée. Auto-pantin dun flux chaotique. |
Elle s'appelait Maraja. Elle passait ses nuits dans les bars de la vieille ville, ici, à San Sébastian. LOxomya, le Barja Bar, et parfois, pour lexotisme cérébral, elle poussait jusquau Tanger Bar. Elle avait toujours sur elle un flacon dencre noire, dont elle versait quelques gouttes dans tous ses verres : pour savoir où je vais disait-elle. Je lavais rencontrée une fois, où, rentrant de laquarium, près du port, après une visite à plus silencieux que moi, un cirque joyeux mattira vers le comptoir. Pas désemparé, je pris une bière. Elle semblait étrangère, pas dici. Pourtant, on aurait dit que personne ne la voyait. Elle dansait les yeux mi-clos, un sourire apaisé sur les lèvres. Et semblait invisible.Quelque chose de cassé, dimprévu. Cétait comme une attente non dite, sourde dimprobabilité, une attente dont on ne désire pas vraiment la fin. Et puis, on shabitue à elle, qui vit en marge, toujours présente, mais jamais imposante.Maraja : elle déchire la fine ligne, entre dans le texte, déplace lordre des choses, chamboule cette page trop bien écrite. L'effrayant; cest de sentir la joie de sa venue. Comme une force qui aurait trop attendu, une cométe qui ne voudrait plus filer, un brasier fou de maturité. Cest une parole que javais oublié de dire; il ny avait sans doute personne. Ou peut-être le silence, tout juste. Une parole que je réinvente à chaque instant de son absence, de son impossible venue. Une parole qui hurle en moi, me déchire, me réduit et mexplose. Une parole toute simple. Et pourtant, je crois avoir déjà un silence de trop, un non-dit, une erreur. Comprendra-t-elle, si je lui explique ? | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
La reine est apparue.
Dici peu, le regard se brûlera aux méandres insoutenables. La reine se fige dans sa pose érotique. Dici, mon regard saffole et cherche repère. La reine tourne sa tête. Premier réflexe, première fuite. Rien quun coeur saignant. |
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Penser Je croyais je pense Je crois je pense Il me semble Elle me semble Il me semble je repense A y repenser ,je crois ... |
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Au loin la folie journalière le tribu existanciel et les soucis de la survie le présent aux dieux coloré s'affiche enfin et peut-etre ses ambitions mortifères large ghetto aux airs de jouissance je crache sur la cage claque des mainset les montre au vide sidéral. |
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#Site Atelier virtuel n°1
#Site Atelier virtuel n°2 |
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Les façades des bâtiments lui semblaient toujours trop lourdes, pesantes, étouffantes. Il narrivait pas à aimer cette ville. Ses déambulations le ramenaient systématiquement chez lui, avec cette impression de gâchis, dincapacité, de nullité, quil faudrait absorber, digérer, vomir. Alors, les vagues diffuses du sommeil lacéreront sa veille de cafard, des restes de pensées tourneront les piques au sein de blessures inconnues, des velours sombres le traîneront vers un repos frappé dincompréhensions, où se forge encore et encore un espoir déveil. Jai besoin dun plan où vais-je ? un type dans une ville, angoisse nocturne,,,,et ? Je raconte lhistoire dun je qui veut écrire un livre. Et je veut écrire un livre parce que le silence de sa solitude est trop pesant. Le souvenir dun amour perdu, des mots qui jaillissaient avec lui, grâce à lui, ne sest toujours pas remplacé, recouvert, amoindrit. Je pense quavec les mots retrouvés, il glissera cette épreuve interne, la transformera, la remodèlisera dans lexpulsion latérale dune souffrance qui sétouffe de silence. Je disait «je taime» Je taime. Mais tu nexiste plus. Alors il fait comme si. Les paysages docres rouge se lovent doucement dans le paysage encore stéril. Leau y est absente depuis trop longtemps. Les oiseaux déserteurs ne vibrent plus lair jadis si porteur et léger. Les âmes mortes sont mortes. Le souffle humide commence à peine. Un volcan était né ici. De sa terre brûlée, des songes damour avaient éclos, prospérés, puis, sans autre raison quun oubli généré, loubli. Sec. Un lézard. Le souffle humide installe sa rosée. Presque une odeur, pas encore. Il cherche dans les souvenirs périphériques dun relation morte, des résurgences de bonheur. Contre une miette de rêverie, un pain de pierre. Jean tente de se secouer. Il aimerait passer au dessus de tout cela, passager dun avion mou dont la promesse des paysages à découvrir est plus belle, plus facile à regarder que ceux-là, derrière, déjà vus, déjà sentis, voilés de roses. Parfois lagitation. Il remet en place ce qui compose sa vie. Les travaux à faire ou à finir. Les tâches multiples à exécuter. Son élan se brise rapidement. Trop faible face aux questions existentielles qui le bombardent, le cernent, lui miroitent insidieusement quune autre solution existe. Sorte de miracle issu dune autre disposition desprit, de regard sur le monde. Mais transformer le monde en objet, en système, le diminue de tout attrait, de toute saveur, et expose son flanc déjà fragile aux vers de là-quoi-bon. Parfois, aussi, il semble se borner à réaliser quelque chose dont il espère de la satisfaction. Pareil. Narrivant pas à abandonner ce qui le ronge, son activité piétine, avance dans la douleur, dans lattente de retrouver langoisse et le miracle quil sest promis. Pourtant, tout nest pas sombre. Il y a aussi ces moment doubli, de re-direction de pensée qui font que le brouillard prend sens. Que les pas semblent faciles, mus par une énergie resurgie soudainement, mystérieusement, sorte de saut, de sursaut vital. De cet état, les choses avancent mieux. Des projets se dessinent, sinsinuent, prennent des bases qui ne pourront que grandir. Que vienne le doute, que vienne cette vision sur ce saut inexpliqué, incompris, ce passage opaque qui va du désespoir à lélan. Si Jean ne lexplique pas, ne le connaît pas, quelle peut être la barrière, le garde fou qui le protégera, quand dans son agitation, il repassera par là ? Quand il sapercevra, quand il regardera, langoisse aux tripes, au coeur, au corps, quil est de nouveau au dessus de labîme, du vide, de linextricable? Fi des projets! Le seul qui tienne, cest ce monde inconnu. Cet invisible qui coexiste et ne se révèle pas. Cet univers où il FAUT pouvoir mettre pied! Cet obsession remplit sa vie. Triste, il subit dans la souffrance cette possession de lui. Enthousiaste, il ne rêve que de sy brûler. Electron fou, papillon halluciné à lhalogène carbonisant. |
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Il existe quand tu es près de moi un livre ouvert aux vents tournants où le soleil sans orgueil vient reflèter sa chaleur sur les micas scintillants |
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il fallais rever il fallait ces chimères il fallait grandir l'espace au dela de l'imaginaire cette prison ultime ce leure assassin musique qui devient cri couleurs soudainement enlaidies retractation implosion reste la violence cette rouge douleur cette hecatombe de toi les mots ramassent les mots absorbent les mots sillages accompagnent ton depart condensent tes souvenirs en passages d'oubli |
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Je veux ecrire sur la peinture celle que je peints que je cherche |
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J'ai pensé à toi lorsque je suis passé près de là. Tu étais quelque pars, proche et loin, un songe délicat. J'ai mis la main par la fenêtre, l'ai carressé. L'air filait entre mes doigts. Puis, l'autoroute s'est étiré dans la plaine. Strasbourg s'est dévoilé. Strasbourg m'a avalé. |
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Les paysages docres rouge poussent à lécran blanc des nuits blanches. Un lezard se promène qui voudrait raconter ce quil sait. La nuit en impression négative se parre de petites étoiles noires et scintillantes. Petits mots trop loin, petits mots illisibles. Le lézard sen souvient. «Je me souviens surtout davant. Avant que tu ne testompes, avant que ta fortune ne me recouvre, dorure dairain, comme un sel argentique, piqué au mur boucané de ton antre. Je me souviens de ta douceur, de ta patience, de ton écoute au sortir de mes mots. Ta capacité à lanalogie, qui te montrait autre chose que mon discours, qui sautait devant, parfois, pour mieux sattarder. Parle moi encore Jean, je naime pas cette poussière... Et elle me cache de ton soleil.» Site : Meetic. Peudo : Yaka67 Pour retrouver des mots, Jean se greffe sur le réseau des esseulés. Des visages et des visages défilent verticalement sur lécran soudainement chargé démotions. Visages anonymes,pseudonymes. Comme un titre. Presque un résumé. Qui est derrière «mtendresse, chamapy, tetenlair, alionouchka, ou encore esprit88»? Tant dhistoires possibles,tant de destins à partager, peut-être. Presque trop. Et comment écrire. Quelle stratégie pour cette course en solitaire. Dabord timidement, tendre quelques perches, quelques envois. Aux plus beaux visages, aux plus prometteurs. Ceux où spontanement le desir de carresser, de saisir, de sentir, de rever se manifeste, simpose, et se prolonge aux critères de sélection. Et voila Zeena. |
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