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Extension du site www.martello-design.com Agence de design et communication

mercredi, avril 05, 2006

Généraliste ?

La multi-pluri-disciplinarité est le moyen aujourd'hui incontournable pour aller au bout d'un enchevêtrement de décisions à venir et impliquant l'avenir.
Martello-design, par ses propositions, souvent graphiques, contribue au développement, à l'expression (et aux réalisations) de vos perspectives.

dimanche, mars 05, 2006

Voiture renversable


Ce jouet roule à l'endroit ou à l'envers.
L'antenne est lestée et se repositionne après renversement.

vendredi, février 17, 2006

De la stratégie globale au complexe global

Il est devenu difficile de parler de comunication globale aujourd'hui. Le sens galvaudé sous-entend qu'il s'agit de communiquer partout, de répandre l'information au maximum. Cette démarche a cependant ceci de positif qu'elle interroge les médias utilisables, dans une visée exaustive. Elle concourt ainsi à remplir ce panier originel, cet univers de l'entreprise, du projet, où j'aime à orienter de souples axes alimentés au jeu du bon sens.
>changer le terme "global"
Si depuis les années 80, ce terme fut largement utilisé, c'est que tout le monde se réclamait de cette globalité. Tout le monde a vu, a voulu imposer sa vision, qui pour simplifier, consiste à faire découler les objectifs de l'entreprise par rapport à celle-ci. Le marketing, la communication, le design, l'économique, la divination, etc. Le tout sur fond de pouvoir légitimable.
Ces solutions plus ou moins heureuses (mais aussi avec de belles réussites) imposent des restructurations internes importantes, qui doivent adapter l'entreprise à des concepts externes, pour ne pas dire étrangers.
Le problème pour le dirigeant, est de choisir entre ces stratégies toutes globales, mais d'en choisir une. Elles supportent en effet très mal la demi-mesure, souvent cause d'échec.C'est pourquoi j'utilise un peu par dépit le mot global, plutôt vu et entendu comme complexité globale, ou comme totalité se sachant emputée aujourd'hui, et plus certainement encore si elle considére ce demain à construire.

dimanche, janvier 29, 2006

Projeter

Projeter dans toutes les directions et choisir la pertinence.

La compétence est dans le vrac de toutes choses et dans la capacité à y associer des paramètres inédits.
En faire une représentation graphique, imagée.
Ne pas considèrer une chose décontextualisée. Ses relations sont nombreuses et le produit issu doit en tenir compte. Soit en l’intégrant, soit en le séparant en conscience.
Le produit est le témoin de ce travail. Il existe par des composants qui ne sont pas tous issus d’une pure matérialité, même si celle-ci en est la contrainte pour son existence.
En cela, toute production est liée au corps, à la matière.
On parle aujourd’hui d’une délivrance de la matière grâce à l’informatique. C’est oublier un peu vite que l’outil façonne l’homme. Il façonne un logiciel, et à son tour le logiciel façonne l’homme par sa logique de transposition des idées. Se plonger dans l’histoire du livre et de l’imprimerie est révélateur. Par sa linéarité, le livre a imposé sa manière de penser, de l’imprimerie, de Descartes à aujourd’hui. Il semble alors évident que l’hypertexte implique de nouveaux voyages, de nouveaux penseurs formés à ces outils.

Position du design

Si tout les acteurs d’informations suivaient une simplicité de forme, de visibilité rapide de leurs objets, le travail serait quasiment terminé.
Il appartient à tout le monde d'être clair sur ce qu'il a à dire et à communiquer.
Aider globalement et ponctuellement, pas sur la totalité.
La complexité ne doit pas servir de refuge.
Arriver à mettre en place des réflexes communicatifs simples, clairs et évidents vers l’extérieur, c’est augmenter considérablement leurs portées.
Si un langage commun avec l'extérieur est possible, c'est de l'intérieur qu'il doit partir.

Tirer profit d’un existant

Installer une communication, nous voyons bien que cela signifie tirer profit d’un existant.
Généralement, tout est là, en place, et pourtant cela ne marche pas.
La parabole du mille-pattes est éloquente : que se passerait-il si une patte se mettait à réfléchir. On croit qu’il va trébucher, mais c’est faux. C’est bien sa capacité de prendre en compte les autres pattes et le terrain qui permet à l’ensemble de se mobiliser. Voyez également les nuages de poissons ou les flots d’oiseaux.

Il ne s’agit pas non plus de donner du travail supplémentaire à des secteurs souvent débordés, mais plutôt d’utiliser autrement les outils qu’ils utilisent déjà. Eventuellement les reconfigurer, les modifier pour que ce soit l’usage même qui implique l’orientation communicative. « Le message fait partie du médium »

Premier élément évident de la mise en place de cette orientation nécessaire, le Logo.(Nom masculin) Terme grec signifiant la raison, le verbe, le principe créateur et rationnel, etc. [Log(o)- est issu de « mot, parole, discours ».]
Une image privée de contenu n'est que peau, façade sans réalité.
Au temps des chevaliers, lors d’un combat, l’étendard avait la fonction de rallier les soldats, les troupes. Il était également porteur de symboles, communication visuelle qui rappelait aux hommes les valeurs auxquelles ils adhéraient. Cette fonction essentielle est souvent absente des logos actuels. Vide de sens ou peu explicite en interne, il ne fédère pas, n’articule pas, son utilité est au minimum, simple visuel supplémentaire dans l’infinité des images actuelles.

Le logo doit être quelque chose de vivant, à considérer comme un élément toujours capable d’évoluer, d’être remis en cause lorsque change les axes. Son usage étant galvaudé, je l’appellerais ici le LOGAXIAL.
Comment définir et illustrer ces axes, et que recouvrent-ils ?

C’est à mon avis un des point crucial, et parfois très difficile à obtenir, à formuler.
Il implique une stratégie claire et pertinente de la part du ou des dirigeants.
Cette stratégie doit elle-même se formuler en considérant les systèmes auquel elle appartient.
Concurrence, par exemple
C’est donc ici que doit avoir lieu la première synthétisation. Il s’agit d’une sorte de charnière entre les possibles en internes et les possibles en externe (effet papillon)

Un moyen

La communication, c’est l’espoir de réconcilier différents systèmes au sein d’un autre système, adaptatif et transformable par ces systèmes eux-mêmes.
Si l’on prend différents secteurs, systèmes, au sein d’une entreprise. Ces secteurs possèdent leurs articulations propres, d’abord avec le système où ils évoluent, puis avec les autres systèmes. Ici la communication devient délicate, car pour être efficace, il faudrait que les systèmes se comprennent entre eux, ou plutôt, qu’ils se complètent entre eux et qu’elle ne soit qu’un moyen (ce qu’elle est).
(Exemple de la voiture, je developperais une autre fois)

Redéfinir les besoins

Le développement d’Internet modifie la transmission du savoir.
De même que dans la société d’avant maintenant, celui qui ne se rend pas visible n’existe pas.
Si les schémas classiques de diffusion fonctionnent encore (publicité, mailing…) il est important de préfigurer les nouveaux processus de diffusion.
Ceux-ci sont de plus en plus véhiculés par les internautes eux-mêmes, sorte de bouche à oreille électronique planétaire. C’est la pertinence de l’information qui crée sa diffusion.
Une information est un contenu divulgué.
Elle est principalement transmise par quelques mots d’approche que j’appellerais « light slogan », difficilement repérables. Ce light slogan est de plus protéiforme, ectoplasmique. C’est le sens donné par l’internaute qui est communiqué par les moyens à sa disposition (texte, photos…) Il peut également changer d’un internaute à l’autre. Tel envoie une photo, l’autre un lien, l’autre le réécrit en texte, l’autre par sms…
On voit ici toute l’importance d’une méta donnée. Son choix est crucial et doit faire l’objet de toutes les attentions lors de sa création.
Cette méta donnée (chapeaux d'informations) doit pouvoir couvrir au mieux les sens véhiculés par les informations que l’on souhaite diffuser.
Il y a donc nébuleuse de signes convergeant vers ces informations, ce savoir recherché.
Comment faire en sorte de satisfaire ce chercheur d’infos qu’est devenu l’internaute ?







Le retour, rémanence du chemin, suppose un contact établi, un chemin repéré.
Le logo bannière. Suppose également un contact établi, mais la mémorisation de l’internaute est différente, éventuellement plus durable. Son efficacité dépend selon moi de son adéquation entre le signe et son message, et par rapport aux informations véhiculées.
Un logo sans discours n’est rien. Par contre un logo éclairé par les savoirs qu’il a permit devient un repère précieux, que ce soit dans l’espace public, l’espace privé, ou Internet.

Savoir +

L’expérience, le cheminement dans un champ d’activité vaut pour l’autre.
Les paramètres à étudier, à prendre en compte sont d’ailleurs souvent les mêmes.
-Utilisateur, clients, (qu’il est de plus en plus compliqué de définir depuis l’Internet, réminiscence de vieilles postures marketing)
-
Les experts d’une situation, ce sont les acteurs de cette situation. L’intervenant extérieur, c’est quelqu’un qui va se poser en observateur du système, en déceler les choix pour l’orienter. Il est une force de proposition, il conseille la prise de décision qui reste sous la responsabilité du ou des dirigeants. Que ses propositions soit acceptées ou pas, il demeure après coup une réflexion jamais anodine quand à la continuité/discontinuité de ce système.

samedi, janvier 28, 2006

Penser l’activité.

Martello et martello-design.com
Chemins d'une complexité à l'autre.

Parler de la peinture ou parler de design, quelle différence quand la recherche d'activité met à profit la capacité de saisir l'à-côté et de créer sur la reliure, pertinente et raisonnée ?

D’un côté la contrainte des supports. Des pots de peinture, des tubes Des pinceaux, des outils. Un espace, une situation. Le monde. Et ma culture, à mon service.
(A tous moments, choisir)

De l’autre, des contraintes stratégiques, financières, commerciales, techniques. Des espaces, des situations. Des clients, leurs mondes. Et ma culture, à leur service.

Si la forme résultante est différente, le processus mis en jeu est le même.
C’est la capacité à utiliser et à reconnaître l’existant, qui permet d’obtenir une vision synthétique la plus pertinente possible.Cette clarté d’ensemble obtenue permet de gérer la complexité en lui retrouvant des axes évolutifs pour tous les acteurs du système.

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